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La Vengeance dans la peau

Dernière mise à jour : 28 oct.

Dans le fin fond des États-Unis, il y a une soixantaine d’années, se trouvait un village paisible, presque hors du temps. Une poignée de maisons éparpillées autour d’une rue principale, un bureau de poste, une petite église et quelques commerces. L’endroit semblait figé dans une époque révolue, loin du bruit des grandes villes. Les habitants vivaient une vie simple, sans ambition démesurée. Ici, tout le monde connaissait tout le monde, et le shérif, John Callahan, était à la fois leur protecteur, leur ami et leur pilier.


Le village baignait dans une atmosphère calme, où les rires des enfants jouant dans la rue étaient interrompus uniquement par le sifflement du vent ou les cloches de l’église. Mais derrière cette façade idyllique se cachait un mal plus profond, une ombre qui rôdait sans être vue. Et cette nuit-là, le village allait perdre son innocence.


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Partie 1 : Une nuit qui change tout

Mary Callahan, la femme du shérif, était seule chez elle, comme presque chaque soir. John avait pour habitude de rentrer tard, ses rondes l’occupant souvent jusqu’à 18 ou 19h voire même bien plus tard. Mary était enceinte de quatre mois, et ses traits rayonnants faisaient d’elle la femme la plus belle du village selon beaucoup. Certains disaient même qu’elle illuminait chaque endroit où elle entrait. Mais cette nuit-là, Mary était nerveuse, sans réelle raison.


Elle passait son temps entre le salon et la cuisine, regardant par la fenêtre pour guetter les phares de la voiture de John. Le vent s’était levé et faisait danser les branches des arbres dehors, projetant des ombres sur les murs du salon. Mary, essayant de se distraire, posa une tasse de thé sur la table basse et s’installa dans le fauteuil pour bouquiner un peu. Mais à cet instant précis, quelque chose attira son attention.


Dans un coin de la fenêtre, juste à la limite de son champ de vision, elle aperçut un mouvement. Une ombre, fugace, rapide, presque imperceptible, traversa le jardin. Mary se redressa brusquement, son cœur battant la chamade. Elle se leva et s’approcha lentement de la fenêtre. Rien. Seulement la nuit, le vent et les arbres.


Mais elle ne pouvait ignorer ce qu’elle avait vu. Il n’était pas rare que des animaux se rapprochent du village la nuit... Par précaution, elle décida de verrouiller tout de même toutes les portes et fenêtres. Elle commença par celles du rez-de-chaussée, ses mains tremblant légèrement en manipulant les verrous.


Lorsqu’elle arriva à la porte d’entrée, la petite fenêtre à peine transparente encastrée dans le bois de cette porte attira son regard. Elle se pencha pour la fermer, mais à travers la vitre, elle aperçut un visage. Une silhouette floue, presque pressée contre la fenêtre, la fixait. Mary recula d’un bond, la main sur sa poitrine, mais en une fraction de seconde, le visage disparut. Comme si l’intrus avait su qu’il avait été vu.

Mary regardant l'homme de l'histoire par la fenêtre

Mary, désormais paniquée, tenta de garder son calme. Elle attrapa le combiné du téléphone pour appeler John. Mais la ligne était morte. Le silence qui suivit sembla peser lourdement dans la maison.


Ne sachant plus quoi faire, Mary monta à l’étage. Elle verrouilla la porte de la chambre, avant de se cacher dans le placard. Assise dans l’obscurité, elle serrait son ventre arrondi, essayant de se convaincre qu’elle avait imaginé les événements.


Mais alors qu’elle reprenait son souffle, un bruit glacial brisa le silence : celui d’une vitre éclatée.


Le bruit provenait du rez-de-chaussée. Quelqu’un était entré. Des pas lourds résonnèrent sur le parquet, avançant lentement. Mary mit sa main sur sa bouche pour étouffer ses sanglots. Elle entendit les pas monter les escaliers, un par un. Le sol grinçait sous le poids de l’intrus. La poignée de la porte de la chambre tourna lentement, suivie d’un claquement sec lorsque la porte s’ouvrit.


Son cœur battait si fort qu’elle aurait cru qu’il allait sortir de sa poitrine. Mary ferma les yeux, priant pour que cette ombre disparaisse. Mais elle sentit quelque chose. Une présence. La porte du placard s’ouvrit brusquement.


Un cri déchirant retentit, puis… silence.



Partie 2 : Le retour du Shérif


Quelques heures plus tard, John Callahan rentrait chez lui. Il venait de finir sa tournée, passant par les lieux habituels où les villageois se rassemblaient. John était respecté de tous. Il était l’homme qui veillait sur le village, un homme d’honneur et de justice.


Sa routine du lundi était presque sacrée : il commençait toujours sa journée en achetant des beignets chez la boulangère, avant de passer chez Tom, son meilleur ami et le boucher du village. Tom préparait pour lui une pièce de bœuf parfaitement coupée, une tradition entre les deux hommes.


Ce soir-là, comme à son habitude, John gara sa voiture devant la maison. Il entra, appelant Mary d’une voix douce. Mais il n’eut aucune réponse. La maison était plongée dans une obscurité inhabituelle. Sa femme, l’attendait toujours avant d’aller se coucher. Étrange...


Au bout de quelques secondes, quelque chose attira son attention. Une odeur métallique, épaisse, lui parvint. John alluma la lumière du salon, et n’y trouva pas Mary. Son cœur commença à s’emballer. Et c’est en arrivant dans la chambre, espérant y trouver sa femme en train de dormir, qu’il découvrit une scène pire que celle d’un film d’horreur.


Devant lui, la pièce était maculée de sang. Les murs, le sol, même les meubles étaient éclaboussés de rouge. Au centre de la pièce, il trouva ce qui restait de Mary. Elle était méconnaissable, il reconnut juste sa chevelure. Son corps avait été découpé avec une précision terrifiante, en si petits morceaux qu’il ne pouvait les compter. Une véritable boucherie.


John s’effondra, hurlant de douleur et de rage. Il pleura toutes les larmes de son corps, ses cris résonnant dans le silence de la nuit. A cet instant précis, au fond de son cœur, son âme de shérif raisonnée était morte et une promesse naissait : il ne mettrait pas le meurtrier de sa femme en prison. Il le tuerait, de ses propres mains.


John en colère

La nuit passa dans une lenteur oppressante. John Callahan, effondré sur le plancher du salon, n’avait ni bougé, ni parlé. Ses pensées tournaient en boucle, hantées par la vision cauchemardesque de ce qui restait de sa femme. Son esprit oscillait entre douleur et rage, entre incompréhension et désir de vengeance.


À l’aube, la lumière du jour perça à travers les rideaux ensanglantés, illuminant une maison devenue le théâtre d’un carnage. John finit par se relever, le regard vide. Il sortit de la maison sans un mot et marcha jusqu’au bureau du shérif.



Partie 3 : La découverte troublante


Les adjoints de John étaient déjà là, prêts à commencer la journée. Ils furent stupéfaits de voir leur chef entrer, l’air hagard, les vêtements encore tachés de sang. John ne leur laissa pas le temps de poser des questions.


John (d’une voix rauque) :

« Mary… est morte. Et je veux que vous trouviez qui a fait ça. Immédiatement. »


Le ton de John était glacial, autoritaire. Ses hommes n’avaient jamais vu leur shérif dans cet état. Ils comprirent que l’affaire devait être prise avec le plus grand sérieux.


L’équipe du shérif se rendit sur place, inspectant minutieusement la maison. Le carnage était tel que plusieurs adjoints durent sortir pour reprendre leur souffle. Mais ce fut près de la rivière, à quelques centaines de mètres de la maison, qu’ils firent une découverte capitale : un couteau. Pas n’importe quel couteau. Une lame longue et aiguisée, bien entretenue, comme celles qu’utilisent les bouchers pour découper la viande. Les adjoints apportèrent l’arme à John, qui la reconnut immédiatement.


Le couteau appartenait à Tom. Son meilleur ami. Le seul boucher du village. Une colère sourde monta en lui. Il voulait croire que ce n’était qu’une coïncidence, mais au fond, tout semblait pointer dans une direction : Tom.



Partie 4 : La confrontation


John n’attendit pas. Accompagné de deux de ses hommes, il se rendit directement à l’atelier de Tom. Le boucher était en train de ranger ses étals lorsqu’il vit arriver son vieil ami. Un sourire éclaira son visage, mais il s’effaça rapidement en voyant l’expression glaciale de John.


Tom :

« Eh bien, mon vieux, que se passe-t-il ? Tu es venu chercher ta pièce de bœuf plus tôt que d’habitude ? »


John serra les poings, tremblant de rage. Il planta ses yeux dans ceux de Tom, cherchant la moindre trace de culpabilité.


John (d’un ton dur) :

« Mary est morte. »


Tom (abasourdi) :

« Quoi ? Mais… comment ? »


John :

« Assassinée. Découpée en morceaux. Et devine quoi, Tom. On a retrouvé ton couteau près de la rivière. »


Tom recula d’un pas, choqué. Il balbutia des mots incohérents, niant tout lien avec ce crime atroce. Mais pour John, cela ne faisait aucun doute. Dans un excès de colère, John attrapa Tom par le col et le plaqua contre le mur de l’atelier.


John plaquant Tom au mur

Ses adjoints durent intervenir pour les séparer. La colère de John éclata dans un cri :


John :

« Comment as-tu pu ?! Mary était comme une sœur pour toi ! »


Tom :

« John, je te jure que je n’ai rien fait ! Je ne sais pas comment ce couteau s’est retrouvé là, mais ce n’est pas moi ! »


Les protestations de Tom furent ignorées. John ordonna qu’il soit menotté et conduit au bureau du shérif. Les villageois, attirés par le tumulte, observèrent la scène avec stupeur. Tom, le boucher respecté, traîné comme un vulgaire criminel. Les murmures se propagèrent comme une traînée de poudre.



Partie 5 : Le poids de la nuit


Cette nuit-là, John était seul chez lui. Les souvenirs de Mary le hantaient à chaque instant. Il s’assit à la table de la cuisine, les mains tremblantes. Devant lui, une assiette contenant la pièce de bœuf qu’il avait achetée chez Tom le matin même du meurtre.


Il hésita. Devait-il manger ? Ce repas, ce dernier souvenir de son meilleur ami, semblait lourd de symbolisme. Mais son estomac vide et son esprit embrumé par le chagrin l’emportèrent.


Il prit une bouchée. Mais alors qu’il levait la tête, son cœur manqua un battement.

Face à lui, assis à sa table, un homme venait d’apparaître.


L’homme portait un masque fait de peau humaine. Sur son visage, les yeux inanimés de Mary semblaient le fixer. Dans sa main droite, un revolver pointé sur John. Sur son tablier blanc immaculé, des taches de sang séché.

John face à l'inconnu

L’inconnu :

« Bonsoir, shérif. J’espère que le repas est à ton goût. »


John resta pétrifié. Sa colère monta en lui comme une vague brûlante. Il voulut saisir l’arme cachée sous la table, mais l’homme le devança.


L’inconnu (riant doucement) :

« Pour qui me prends-tu ? Crois-tu vraiment que je serais venu chez le shérif de ce village sans prendre mes précautions ? Maintenant, assieds-toi et mange. »


Tandis que John obéissait, l’homme enleva son masque, dévoilant un visage marqué par une haine profonde.


L’inconnu :

« Un shérif aussi expérimenté que toi… Tu as vraiment cru qu’un meurtrier jetterait son arme si près de la scène de crime ? Mon père n’a rien fait. C’était moi. Et grâce à toi, il est derrière les barreaux. »


L’homme, qui se révéla être le fils du boucher, éclata d’un rire froid.


L’inconnu :

« Maintenant que mon père est hors du tableau, je vais reprendre tranquillement son affaire. Et au fait… ce que tu manges, shérif, c’est ta femme. »


John recula brusquement, l’assiette tombant de ses mains. Il vomit violemment, secoué par une horreur indescriptible. John était plié en deux, vomissant tout ce qu’il avait dans l’estomac, son esprit embrouillé par l’horreur des révélations. L’homme en face de lui, le fils du boucher, le regardait avec un sourire malsain. Le tablier taché de sang, le masque de peau posé sur la table… tout semblait sorti d’un cauchemar. Mais ce n’était pas un cauchemar. C’était réel.

John sentait la rage monter en lui, une colère brute, incontrôlable. Il redressa lentement la tête, ses yeux remplis de larmes mais aussi d’une haine dévorante. Le shérif, encore pétrifié par les révélations, fixait l’homme assis en face de lui. Mais celui-ci n’avait pas fini son récit. Il se pencha légèrement vers John, son sourire dérangé révélant des dents jaunies par le temps.


L’inconnu :

« Tu ne comprends toujours pas, hein ? Tu crois que je suis juste un pauvre fou qui a craqué parce qu’il était jaloux ? Non, John. Ça, c’est ce que les gens comme toi aiment croire. Mais ma haine, elle est bien plus ancienne que ça. Elle remonte à bien avant que tu débarques dans ce village avec ta femme parfaite. »


John fronça les sourcils, la colère et la confusion se mêlant à son regard. L’homme continua, sa voix devenant plus rauque, plus chargée d’émotion.


L’inconnu :

« Mon père… c’est un lâche. Un homme faible. Il a toujours tout accepté, tout sacrifié pour le respect des autres. Il disait toujours que le village devait passer avant nous, avant notre famille. Même après ce que vous avez fait. »


John (serrant les dents) :

« De quoi parles-tu ? »


L’inconnu (hurlant soudainement) :

« TA FOUTUE JUSTICE ! »


L’homme reprit son souffle, les mains tremblantes, serrant son revolver.


L’inconnu :

« Tu te souviens de cette affaire, il y a dix ans ? Cette famille qui a été massacrée dans leur ferme à la lisière du village ? Une mère, un père, et un petit garçon de sept ans. Tu as arrêté un vagabond, un type qui avait le malheur de passer par là au mauvais moment. Tu l’as pendu, John. Devant tout le village, comme si ça suffisait pour laver le sang. »


John sentit son estomac se nouer. Les souvenirs remontaient. Une vieille affaire, brutale, sanglante. Mais close depuis longtemps.


L’inconnu :

« Tu te souviens de leur nom ? Non ? Eh bien, moi, je m’en souviens. Parce que ce petit garçon, celui que tout le monde croyait mort, c’était moi. J’ai vu mes parents se faire découper comme des animaux. Et toi… tu n’as jamais cherché à comprendre. Tu avais ton coupable, et le village avait sa paix. »



Partie 6 : Une vengeance longtemps nourrie


John sentit une sueur froide couler le long de son dos. Les paroles de l’homme résonnaient dans son esprit. Était ce vrai ? Avait-il commis une erreur si grave, une injustice si irréparable ?


L’inconnu :

« Alors j’ai attendu. Pendant des années, j’ai regardé ce village m’oublier, oublier ma famille. Ce putain de boucher m’a adopté et m’a offert une vie qui n’était pas la mienne. Une vie de merde. Et toi, tu étais là, à te pavaner comme un héros. Mais moi… moi, je n’oubliais rien. Chaque jour, chaque nuit, je me disais qu’un jour, je te ferais payer. Et quand j’ai vu cette femme parfaite, enceinte de ton enfant, je savais exactement comment te briser. »


Narrateur :

L’homme éclata d’un rire nerveux, presque hystérique. Il se leva, pointant le revolver sur le front de John.


L’enfant du boucher était en réalité un enfant présumé mort qu’il avait adopté.

Sa famille avait été massacrée par un meurtrier, et le gentil Tom, avait recueilli l’enfant dans son foyer afin de lui offrir une vie meilleure.

Faute de preuves suffisantes, John avait condamné un homme à la hâte pour le crime commis sur la véritable famille du garçon. L’enfant adopté, qui n’avait pas été satisfait de la sentence, s’est nourri d’une haine et d’une jalousie malsaine pendant des années, rejetant la faute sur le shérif.

Avide de rancœur, cet homme avait préparé sa vengeance macabre.


L’inconnu :

« Tu sais, je ne voulais pas simplement te tuer. C’était trop facile. Non, je voulais que tu ressentes ce que j’ai ressenti. Que tu perdes tout, que tu sois consumé par la haine, comme moi. »


A votre avis, autour de cette table, qui est le plus dangereux de ces deux hommes ? Le fou avec un revolver dans les mains ou celui qui n’a plus rien à perdre ?


Dans un élan de rage, John retourna brutalement la table, projetant l’homme en arrière. Le revolver glissa sur le sol, hors de portée.


John se jeta sur l’homme, ses poings s’abattant avec une violence inouïe. Chaque coup était chargé de douleur, de rage, de vengeance. Il ne voyait plus qu’un ennemi, un monstre qui avait détruit sa vie.


John frappant l'inconnu

John (hurlant entre deux coups) :

« TU AS TUÉ MA FEMME ! TU AS TUÉ MON ENFANT ! »


Les hurlements de John résonnaient dans la maison, mêlés aux gémissements étouffés de l’homme. Mais John ne s’arrêta pas. Ses poings continuaient de frapper, même lorsque le visage de son adversaire devint méconnaissable, même lorsque le corps cessa de bouger.



Partie 7 : Une fin tragique


Lorsque John s’arrêta enfin, il était couvert de sang. Ses mains étaient mutilées, ses phalanges brisées. Il recula lentement, regardant le corps inerte devant lui. Ce n’était plus un homme. C’était une masse informe, écrasée par une violence aveugle. John s’effondra sur le sol, le regard vide, ses larmes se mêlant au sang qui ruisselait sur son visage.


Après de longues heures, la porte s'ouvrit.

Lorsque ses adjoints arrivèrent, ils furent horrifiés par la scène. John, le shérif respecté, était méconnaissable. Il ne tenta ni de s’expliquer, ni de se défendre. Il se laissa emmener sans un mot.


Le procès de John fut rapide.

Les villageois, d’abord choqués, comprirent peu à peu l’ampleur de la tragédie. Certains le virent comme un monstre, d’autres comme une victime d’un destin cruel. Quoi qu’il en soit, John Callahan fut condamné à la prison à perpétuité.


Quelques semaines après son incarcération, John fut retrouvé pendu dans sa cellule. Il laissa derrière lui un village brisé, une maison abandonnée, et une légende macabre qui hanterait les habitants pour des générations.



Et vous, que feriez-vous si une erreur passée venait vous détruire ? Si la vengeance d’un homme que vous aviez oublié bouleversait tout ce que vous pensiez savoir ? L’histoire de John Callahan est celle d’une vie consumée par la haine, et d’un village qui a appris, trop tard, que la justice n’est jamais simple.

 



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2 commentaires

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Enora
20 août
Noté 5 étoiles sur 5.

l'histoire est trop bien, faut trop en faire un film !

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En réponse à

Merci infiniment Enora ! Peut-être un jour qui sait :)

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