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Vendredi 13

Une histoire vraie tirée d'une enquête palpitante

La malédiction du l'illusionniste

Le vendredi 13 est-il vraiment un jour maudit ? S'agit-il simplement d'une superstition populaire… ou d'une date réellement marquée par des drames étranges et inexpliqués ?


Voici l’histoire méconnue – mais pourtant bien réelle – d’un illusionniste disparu corps et biens un soir de représentation, dans un petit théâtre parisien, un certain vendredi 13 octobre 1922.

Écouter le podcast :

Pourquoi le vendredi 13 fascine-t-il autant ?

Dans notre culture, le chiffre 13 rompt l’équilibre du 12 : 12 mois, 12 apôtres, 12 signes du zodiaque... Quant au vendredi, il évoque la Crucifixion du Christ, et surtout une arrestation historique : celle des Templiers, un vendredi 13 octobre 1307. 

Depuis, l’association des deux symboles a nourri des siècles de superstitions, de peurs… et parfois, d’histoires troublantes.

L’affaire Joseph Lefranc : une disparition sans explication

En 1922, un certain Joseph Lefranc, illusionniste discret mais intrigant, se produit au cabaret du Grand Sphinx, à Paris. Une salle modeste de 100 places, aujourd’hui disparue, dont on ne retrouve aucune place si ce n'est dans les plans cadastraux de l'époque de la ville de Paris.

Le 13 octobre, une unique représentation est annoncée sous le titre :
“La Traversée”.

Durant le tour, Lefranc entre dans une boîte noire, cloutée, refermée devant le public.
Trois coups sont donnés à l’intérieur.
Puis… plus rien.

Quand on rouvre la boîte : vide.

Le public attend un long moment, mais rien ne se passe.

Aucune trappe. Aucun rideau. Aucun effet de scène.
Joseph Lefranc ne réapparaîtra jamais.

Une enquête obscure, des traces effacées

Aucune plainte ne sera déposée.
Un simple entrefilet paraîtra dans Le Petit Parisien, évoquant un “incident singulier” dans le IXe arrondissement.
Peu après, le théâtre ferme définitivement. En 1925, l’immeuble est rasé.

Le nom de Joseph Lefranc disparaît des archives officielles.
Pas d’état civil. Pas de succession. Rien.

Le seul vestige ? Une vieille affiche retrouvée dans les années 80, avec une annotation étrange manuscrite au dos :
“Ce qui est traversé un vendredi 13 ne revient pas.”

Une étrange répétition, 25 ans plus tard…

En 1947, à Lyon, un prestidigitateur nommé Michel Thivierge propose un numéro intitulé… La Traversée.

Même dispositif : une boîte noire, trois coups frappés à l’intérieur… puis disparition.

Même date.
Vendredi 13 mars 1947.

Thivierge ne sera jamais retrouvé. L’histoire, reléguée à un article de revue locale, finit par sombrer dans l’oubli.
Mais les similitudes sont trop nombreuses pour être ignorées.

Canular, mythe… ou malédiction réelle ?

Aujourd’hui, aucun historien ne peut affirmer avec certitude qui était Joseph Lefranc. 

Il est même difficile de prouver qu'il est tout simplement exister.
Mais l’ensemble des éléments – documents épars, témoignages indirects, coïncidences de dates – laissent planer le doute.

Un doute glaçant.

Le plus troublant ? Le seul témoin du second spectacle 25 ans plus tard aurait affirmé : 

“Ce qui est traversé un vendredi 13 ne revient pas.”

Écoutez l’histoire complète en version audio 🎧

Cet article est inspiré d’un épisode de la série audio "Chroniques Étranges".
Découvrez l’histoire complète de "La Malédiction de Joseph Lefranc", en audio, avec effets immersifs et narration envoûtante, en cliquant ici :

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